Trop souvent pendant toutes ses années on m’a dit de laisser cela derrière, que c’était le passé.
Ceci est facile pour eux.
Ne comprends-t-ils pas que la torture n’est pas mon style, que je préférerais ne plus revivre cette horreur encore?
Comment c’était difficile de non seulement perdre celui que j’aimais le plus au monde mais de l’entendre quitter ce monde?
J’ai dû composer avec deux choses différentes, sa perte et ce qu’il m’a fait devenir.
Ce que je vis n’est pas ce que je voulais mais bien ce que je dois endurer.
Je fais du mieux que je peux avec ce que je suis.
Je fais de mon mieux
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